Pas terrible ; mais presque
Combien d’entre-nous se sont un jour frotté à un client qui à la présentation d’une maquette nous interpelle avec insistance sur la couleur de tel ou tel élément minuscule de l’interface alors que tout de dont on attend de lui, c’est qu’il nous valide le concept de la maquette ?
Afin de simplifier à la fois le travail du web-designer dans sa phase de recherche et ses relations avec le client dans les premières phases de validation, il n’est pas inintéressant de mettre en place un «gabarit gris».
Oct 21
Ça fait déjà quelques temps que les ténors en parlent ; mais la tendance est là, les utilisateurs surfant sur leur smartphones sont de plus en plus nombreux. La faute aux navigateurs utilisés dans ces plateformes qui sont de plus en plus performants. Il faut donc absolument les prendre en considération dans la conception de sites qui sont susceptibles d’être massivement utilisés via des plateformes mobiles.
Dans cette optique, Paul Irish à bien synthétisé la démarche dans un post sur Google+. Je vous en livre ici une traduction faites par votre serviteur (donc à prendre avec les réserve d’usage, hum).
5 conseils généraux sur le théme du web-design. Les lignes qui suivent sont une à la fois une compilation et une traduction de divers textes trouvés sur internet et qui sont restés dans mon Evernote depuis trop longtemps.
Avoir des objectifs dans la vie est au moins aussi important que dans la conception d’un design de site internet.
Ces objectifs ne sont pas des contraintes mais plutôt des guides qui nous permettent de ne pas perdre de vue certains aspects alors que nos envies nous poussent parfois un peu trop loin du rivage. Lire le reste »
Mar 9
Depuis quelques mois, et suite à l’absence de lecteur Flash sur l’iPhone et sur le futur iPad on assiste à une campagne de vilipendage de Flash par les Mac users. Je trouve ça assez lamentable.
Avant toute chose, je ne suis « plus » un adepte de Flash, la totalité de mes réalisations on-line se font avec juste du HTML/CSS et un soupson de JavaScript, et d’ailleurs j’accepterais à reculon d’utiliser Flash dans un projet à réaliser seul car, je trouve que dans 99 % des cas on fait aussi bien en html pour moins lourds.
Mais comme toujours, la vérité est ailleurs, du moins elle se situe plus loin que l’extrémité de notre appendice nasal.
Flash à depuis longtemps dépassé ce qui est faisable avec html + JavaScript ; et le problème est de l’utiliser à bon escient et avec le professionnalisme nécessaire. Étant pour l’essentiel un langage de programmation (ActionScript) son efficacité est essentiellement conditionnée par la qualité de l’implémentation qui en est faite par le(s) programmeur(s). Si ce denier est un branque, le résultat ne peut être à la hauteur des attentes. Ceci est moins sensible avec le HTML/CSS car la rapidité des moteurs d’affichages modernes masque l’incurie des mauvais codeurs.
Et puis, il ne faut pas oublier ce qu’est le lecteur Flash : c’est un lecteur qui gère une vaste gamme de contenu dynamique écrit sur une variété d’outils (dont certains que les ingénieurs de chez Adobe ne contrôlent pas) par des développeurs plus ou moins compétents. Maintenant, essayez de rendre ce lecteur compatible, cohérent et performant sur des dizaines de systèmes d’exploitation, les navigateurs, plates-formes et périphériques. Tout en maintenant une rétrocompatibilité avec les 9 dernières versions, et ce pendant que les plates-formes cibles changement. Et de garder ça dans moins de 5 mégas…
Adobe ne fait pas que des bonnes choses (la qualité des applications baisse de manière manifeste depuis quelques années) mais, il faut bien reconnaître que ce qu’il font avec Flash est assez fort quand on y réfléchi bien.
Après, est-ce que Flash devrait être intégré dans les terminaux mobiles d’Apple, je pense que oui, certaines entreprises on fait le choix de Flex pour leurs interfaces d’application-métier, et ce couper de ces dernières est une erreur à mon avis (mais ce n’est pas le seul cas). Laissons donc un peu d’eau couler sous les ponts, et nous verrons tous autant que nous sommes de quoi l’avenir sera fait.
Voici une traduction d’un article faisant le parallèle entre architecte et web designer / développeur. Outre le côté hilarant du texte quand on en connait bien le métier, il met en exergue les principales absurdités que l’on peut entendre de la part des clients (et ils sont beaucoup plus nombreux qu’on le crois) lors d’une commande pour la construction d’un site à vocation commerciale (mais pas que).