Pas terrible ; mais presque
Dans la réalisation d’un site, il existe une étape assez fastidieuse sous Photoshop qui consiste à découper sa maquette en de multiples tranches, futures images à intégrer dans le code HTML.
Bien sûr, Photoshop possède des outils dédiés à cette tâche ; mais ils comportent certaines limitations qui les rendent peu pratiques lorsque les découpes se comptent par dizaines.
L’autre solution très utilisée, est de passer par un document intérmédiaire issue d’un copier-coller et de faire l’exportation depuis ce de dernier. Cette méthode permet de s’affranchir du tracé des découpes et permet une gestion plus intuitive des transparences, cependant, elle nécessite pas mal de manipulations qui rebutent pas mal de débutants mais pas que…
La méthode que je vous propose dans la vidéo suivante utilise cette dernière méthode comme base de travail mais fait appel aux fonctions d’automatisation de Photoshop pour réduire toutes les opérations à l’appui sur une seule touche, ce qui la rend tout de suite plus attrayante !
Cette méthode à l’avantage de fonctionner quel que soit le nombre de calques sélectionnés et quel que soit leur nature (vectorielle ou bitmap).
Vous pouvez télécharger l’action toute faite ici.
Actuellement, il y a un « débat » sur la « transition énergétique » . Ce « débat » donc, veut fixer comme objectifs les points suivants :
Réduire les émissions de gaz à effet de serre
Tout cela est fort louable à première vue, mais… lors des deux premiers chocs pétroliers, nous avions développé le nucléaire pour réduire notre dépendance aux énergies fossiles dans la production d’électricité (chose encore vraie actuellement, puisque la France –toutes proportions gardées– émet autant de gaz à effet de serre par habitant que le Danemark qui a portant massivement investit dans l’éolien). Lors du troisième choc pétrolier (nous y sommes), nous faisons exactement l’inverse. Selon une logique toute cartésienne soit nous nous sommes trompés il y 40 ans, soit c’est maintenant.
Si je tente de synthétiser : dans un pays aux finances exsangues, nous nous orientons vers des modes de production qui sont toutes choses égales par ailleurs au moins aussi producteurs de gaz à effets de serre et plus dépendants aux énergies fossiles qu’à la sortie des 30 glorieuses ?
Par ailleurs, il est déplorable que ce fameux débat fasse l’impasse sur l’essentiel. En effet, il se focalise sur l’électricité, alors qu’elle ne représente que 20% de notre consommation finale d’énergie quand les énergies fossiles en représentent plus des deux tiers…
Pour conclure, il ne faudrait pas tomber dans le piège du « c’était mieux aaaaavant ». Mais notre avenir énergétique est surtout pour l’instant dans la mise en place d’une réelle politique structurante de notre économie pour améliorer l’efficacité énergétique actuelle et amorcer le plus sereinement possible la décroissance nécessaire à la survie de notre mode de vie démocratique.